
Malgré le considérable durcissement des violations des droits de l’homme en Iran, les Nations Unies (ONU) et l’Union européenne (UE) – qui prêchent les droits de l’homme -, ferment les yeux sur les abus du régime.
Un rapport d’Amnesty International rendu public le 2 septembre a accusé le système judiciaire, les forces de l’ordre et le ministère des Renseignements iraniens d’être les auteurs de crimes et d’exactions en série.